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Adam91

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Guest Mhmad

PEPPY 様このオープンレターには凄いことが書いてありますね。「What if it was sabotage? What if an enemy naiotn triggered the earthquake and tsunami with a nuclear weapon in the deepest part of the ocean off the coast of Japan? What if people you trusted from outside your naiotn sabotaged the control systems with a virus, and over the year they were there, managed to rig the place with explosives, one of them nuclear? Does this not make more sense? Why was reactor 4 destroyed by an explosion? I have verified that you were truthful about reactor 4, it really was disassembled.Do you realize that the people you trusted with the security of your facility maintained an internet datalink into the containment of reactor 3 until that massive explosion, and have actually told the Israeli press? Did you tell them they could have one, or are you still unaware? 」敵国の核による地震と津波に言及されています。 http://urieqlhdl.com lxbslmeecqb [link=http://nnthdh.com]nnthdh[/link]

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Guest Emedom

By the end of the day, I hope both Mr. Tsang and Mr. Chan are truly happy. If they are not happy, at least they have been making a lot of money, hanivg a lot of power and getting a lot of attention from others through mass media for the past many years. Not that many people have this kind of opportunity. For me, I surely do not have that opportunity. But I quite enjoy reading your blog, writing my response to you, drinking my red wine & decafe, watching sunset at Sai Kong, walking at the beach, watching DVD...and live my quiet and private life. I guess being known by too many people will make me lose a lot of my privacy and freedom. That's not what I really want.BbBb

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Guest Irina

ZESTJ>>>>>>>>>>>>>a pochemu imneno v Moskve ,a ne v drugom gorode .???pochemu pod Lubankoi .vse ochenj uz stranno zalj vas stolica i ljudej ochenj zalj..vot viehal na rabotu utrom v ponedelnichek i ne doehal zestkj ((((((((((

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Guest Florence

Hehe, that's pretty hard on her. Apparently she's dannicg in shackles, perhaps that's why she couldn't speak in a more direct manner. And being a writer gives her the license to be sentimental and indeed, to stir, to provoke, to inspire, to ignite.

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Guest Nancy

inch ya3ni 5 dghots nerreags ..grnam kidnal gabe havakin hed...!verche sa cameran chem kider ichou indsi photogenic chi haner so..i think u should change it che?

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Μου αρέσει το επίκαιρο του σχολιασμού σου.Πάρε δωράκι την υπόθεση του Ευρωπαϊκού Δικαστηρίου για την κατάργηση του εκκλησιαστικού φόρου στη Γερμανία, λόγω του ομοφοβικού λόγου της: le 17 juin 2008 CINQUIc8ME SECTIONRequeate no 12884/03 pre9sente9e par Johannes WASMUTH contre l'Allemagne<a href="http://egcctcxzch.com"> inurodtite</a> le 14 avril 2003EXPOSc9 DES FAITSEN FAIT Le reque9rant, Johannes Wasmuth, est un ressortissant allemand ne9 en 1956 et re9sidant e0 Munich.A. Les circonstances de l'espe8ce Les faits de la cause, tels qu'ils ont e9te9 expose9s par le reque9rant, peuvent se re9sumer comme suit. Le reque9rant exerce la profession d'avocat inde9pendant et de lecteur salarie9. 1. Les proce9dures ante9rieures du reque9rant Sur la fiche d'impf4ts sur le salaire (Lohnsteuerkarte ci apre8s : fiche d'impf4ts) du reque9rant pour l'exercice 1997 figurait, e0 la rubrique retenue de l'impf4t cultuel (Kirchensteuerabzug), la mention -- . Ces deux traits informaient l'employeur du reque9rant qu'il n'y avait pas lieu de pre9lever l'impf4t cultuel. Le 10 octobre 1996, le reque9rant demanda e0 la commune de lui de9livrer une fiche d'impf4ts de9pourvue de toute mention relative e0 l'appartenance religieuse. La commune refusa ; le recours administratif du reque9rant n'aboutit pas. Le reque9rant saisit alors le tribunal des finances de Munich d'un recours, faisant notamment valoir que cette mention enfreignait son droit de ne pas confesser une croyance et qu'il n'y avait pas de base le9gale pour le pre9le8vement de l'impf4t cultuel par le Tre9sor public. Le 24 novembre 1998, le tribunal rejeta le recours. Le 9 aofbt 2000, la Cour fe9de9rale des finances rejeta la demande du reque9rant tendant e0 l'admission du pourvoi en cassation au motif que celle-ci ne reveatait pas une importance fondamentale. Elle observa que la question, souleve9e par le reque9rant, de la compatibilite9 avec la Loi fondamentale de la mention, sur la fiche d'impf4ts, d'informations concernant l'appartenance e0 une socie9te9 religieuse avait de9je0 e9te9 tranche9e par elle-meame ainsi que par la Cour constitutionnelle fe9de9rale. Contrairement e0 ce que pre9tendait le reque9rant, aucune circonstance nouvelle ne justifiait un nouvel examen de cette question. La Cour fe9de9rale pre9cisa qu'elle pouvait laisser ouverte la question de savoir si la mention - - appose9e sur la fiche d'impf4ts pouvait eatre qualifie9e d'information sur l'appartenance e0 une religion. Le 25 mai 2001, la Cour constitutionnelle fe9de9rale, statuant en une chambre (Kammer) compose9e de trois juges, rejeta le recours constitutionnel du reque9rant (n 1 BvR 2253/00). Son raisonnement se lit ainsi : La mention de l'appartenance religieuse sur la fiche d'impf4ts, pre9vue par la loi, n'enfreint pas les droits fondamentaux d'un employe9. Elle est compatible avec la liberte9 de ne pas divulguer ses convictions religieuses, telle que garantie par l'article 4 de la Loi fondamentale et, en particulier, par l'article 136 3 de la Constitution de Weimar. En l'espe8ce, il en est de meame en ce qui concerne la mention -- , qui indique que le reque9rant n'appartient e0 aucune socie9te9 religieuse habilite9e e0 pre9lever l'impf4t cultuel. Dans le domaine du droit de l'impf4t cultuel, la liberte9 de ne pas divulguer ses convictions religieuses est limite9e par la Constitution meame, e0 savoir par la garantie d'une imposition fiscale ordonne9e (geordnete Besteuerung), pre9vue e0 l'article 137 6 de la Constitution de Weimar. Cette garantie comprend la mention de l'appartenance e0 une socie9te9 religieuse sur la fiche d'impf4ts et la divulgation de cette appartenance qui en de9coule. Les meames principes s'appliquent e0 la mention -- . La personne imposable ne porte pas une charge de9raisonnable (unzumutbar) du seul fait qu'e0 travers la divulgation de sa non-appartenance e0 une socie9te9 religieuse habilite9e e0 pre9lever l'impf4t cultuel, elle soutient indirectement celle-ci (re9fe9rence e0 sa de9cision du 27 aofbt 1987, n 1 BvR 472/85 concernant l'obligation d'un employeur n'appartenant e0 aucune confession de retenir l'impf4t cultuel e0 ses employe9s). Les arguments du reque9rant e0 l'appui de la the8se oppose9e n'aboutissent pas e0 une conclusion diffe9rente, meame dans la mesure of9 il invoque le principe de la se9paration de l'Etat et des Eglises. Ce principe n'a pas e9te9 repris dans la Loi fondamentale sous la forme d'une se9paration stricte ne permettant ni exception ni de9rogation. La situation sociologico-religieuse (religionssoziologische Verhe4ltnisse) invoque9e par le reque9rant ne modifie en rien les principales positions du droit constitutionnel re9gissant les relations entre l'Etat, les socie9te9s religieuses et le citoyen. La doctrine re9cente en droit constitutionnel ne met pas en cause l'e9tat de droit constitutionnel ainsi re9sume9. Aucun indice ne laisse supposer que les juridictions des finances aient fondamentalement me9connu l'importance et la porte9e de l'article 4 1 de la Loi fondamentale et de l'article 136 3 de la Constitution de Weimar lors de l'interpre9tation et de l'application des dispositions le9gales sur lesquelles elles ont fonde9 leurs de9cisions ( ) Une deuxie8me demande du reque9rant concernant sa fiche d'impf4ts pour l'exercice 1998 n'aboutit pas davantage et fut rejete9e en dernier ressort par le tribunal des finances de Munich le 30 juillet 2001.2. La proce9dure litigieuse Le 9 octobre 2001, le reque9rant fit une nouvelle demande concernant sa fiche d'impf4ts relative e0 l'exercice 2002, mais celle-ci fut rejete9e. Son recours administratif n'aboutit pas. Le reque9rant saisit alors de nouveau le tribunal des finances de Munich d'un recours, faisant valoir que la mention litigieuse enfreignait son droit de ne pas confesser une croyance, qu'il n'existait pas de base le9gale pour le pre9le8vement de l'impf4t cultuel par le Tre9sor public et que l'on ne pouvait exiger de lui en tant qu'homosexuel de participer e0 un syste8me de pre9le8vement qui be9ne9ficiait e0 des groupes sociaux dont le but de9clare9 e9tait de mettre en question et de souiller, pour des raisons ide9ologiques, une partie essentielle de sa personnalite9. Le 5 fe9vrier 2002, le tribunal des finances rejeta le recours. Il releva que la compe9tence des autorite9s fiscales locales concernant la mention de l'appartenance e0 une socie9te9 religieuse habilite9e e0 pre9lever l'impf4t cultuel e9tait pre9vue par la loi bavaroise sur l'impf4t cultuel (Bayerisches Kirchensteuergesetz), la loi sur l'impf4t sur le revenu (Einkommensteuergesetz), l'article 136 3, 2e8me phrase, de la Constitution de Weimar et par la Constitution de la Bavie8re. Il de9coulait des dispositions constitutionnelles que le droit de demander e0 un employe9 des informations relatives e0 son appartenance religieuse impliquait aussi le droit d'utiliser ces informations, en particulier de les transmettre e0 l'employeur charge9 de retenir l'impf4t cultuel. De meame, la pratique du pre9le8vement de l'impf4t cultuel e9tait e9galement pre9vue par le Code fiscal (Abgabenordnung), qui s'appliquait mutatis mutandis e0 la proce9dure de pre9le8vement de cet impf4t. Au droit des communes de demander des renseignements correspondait l'obligation pour le reque9rant de fournir ces informations. Le tribunal nota par ailleurs que la participation du reque9rant se limitait e0 tole9rer la transmission, e0 son employeur, de sa fiche d'impf4ts portant la mention -- . Le reque9rant avait ainsi la garantie qu'aucun impf4t cultuel ne lui serait impose9. La porte9e de cette limitation apporte9e e0 ses droits fondamentaux, qu'il devait accepter dans l'inte9reat d'un pre9le8vement ordonne9 de l'impf4t cultuel, e9tait minime, meame si l'on tenait compte de son homosexualite9. Sur ce point, le tribunal reprit les principaux documents de l'Eglise catholique romaine et allemande et de l'Eglise luthe9rienne d'Allemagne sur l'homosexualite9 et conclut que l'objectif des Eglises n'e9tait pas de porter atteinte au droit du reque9rant e0 la protection de sa personnalite9 (Persf6nlichkeitsrecht) ni de limiter ses droits vis-e0-vis d'autres personnes. L'attitude hostile des Eglises e0 l'e9gard de la possibilite9 pour des homosexuels de se marier e9tait partage9e par beaucoup de groupes en dehors des Eglises. La Loi fondamentale, elle, plae7ait le mariage he9te9rosexuel sous sa protection particulie8re. La prise de position des Eglises e0 ce sujet relevait de l'exercice de leur liberte9 religieuse collective et ne constituait pas un motif permettant au reque9rant de refuser de participer au syste8me de pre9le8vement de l'impf4t cultuel, participation qui e9tait minime. Le reque9rant n'e9tait nullement empeache9 de s'engager pour faire changer les traditions et les conceptions religieuses. Au demeurant, il ressortait des observations de l'inte9resse9 que son principal objectif n'e9tait pas de pre9venir une atteinte e0 l'un de ses droits fondamentaux, mais de faire obstacle e0 un syste8me de pre9le8vement de l'impf4t cultuel, qui be9ne9ficiait e0 des socie9te9s religieuses qu'il combattait. Le tribunal n'autorisa pas le pourvoi en cassation. Le 31 juillet 2002, la Cour fe9de9rale des finances rejeta la demande du reque9rant tendant e0 autoriser le pourvoi en cassation. Se re9fe9rant e0 la de9cision de la Cour constitutionnelle fe9de9rale du 25 mai 2001 (voir supra), elle conside9ra que le reque9rant n'e9tait pas fonde9 e0 affirmer qu'en apposant la mention -- sur sa fiche d'impf4ts il soutenait indirectement les socie9te9s religieuses habilite9es e0 pre9lever l'impf4t cultuel. Elle estima en outre qu'il n'e9tait pas davantage fonde9 e0 affirmer que l'obligation de donner les informations en question n'e9tait pas conforme e0 l'article 4 de la Loi fondamentale et e0 l'article 136 2 de la Constitution de Weimar. Cette question avait de9je0 e9te9 tranche9e par la Cour constitutionnelle fe9de9rale. L'obligation litigieuse e9tait pre9vue par une loi formelle (ff6rmliches Gesetz) et n'e9tait pas seulement fonde9e, comme l'affirmait le reque9rant, sur des directives [administratives] relatives e0 l'impf4t sur le salaire. Le tribunal des finances avait releve9 e0 juste titre que le Code fiscal, qui e9tait applicable mutatis mutandis e0 la proce9dure de pre9le8vement de l'impf4t cultuel, pre9voyait que les communes avaient le droit de demander des renseignements sur l'appartenance religieuse des personnes imposables et que celles-ci avaient l'obligation de fournir ces informations. Le reque9rant n'e9tait par ailleurs pas tenu de donner ces informations e0 son employeur, une personne prive9e, mais e0 la commune qui, elle, e9tait habilite9e e0 les transmettre e0 ce dernier. Le 30 septembre 2002, la Cour constitutionnelle fe9de9rale rejeta le recours constitutionnel du reque9rant (n 1 BvR 1744/02) au motif qu'il ne reveatait pas une importance fondamentale et que son admission n'e9tait pas ne9cessaire pour assurer le respect des droits constitutionnels du reque9rant. Se re9fe9rant e0 sa de9cision du 25 mai 2001, la haute juridiction estima que les de9cisions attaque9es n'avaient pas enfreint l'article 4 de la Loi fondamentale combine9 avec l'article 136 3 de la Constitution de Weimar et que les observations du reque9rant dans le cas d'espe8ce ne justifiaient pas de s'e9carter de cette de9cision. B. Le droit et la pratique internes pertinents1. La Loi fondamentale L'article 140 de la Loi fondamentale dispose que les articles 136 e0 139 et 141 (articles dits eccle9siastiques (Kirchenartikel)) de la Constitution de Weimar du 11 aofbt 1919 font partie inte9grante de la Loi fondamentale. Les articles 136 et 137, dans leur partie pertinente en l'espe8ce, se lisent ainsi : Article 136 ( ) (3) Nul n'est tenu de de9clarer ses convictions religieuses. Les autorite9s publiques n'ont le droit de s'enque9rir de l'appartenance e0 une socie9te9 religieuse que lorsque des droits ou des obligations en de9coulent ou qu'un recensement statistique ordonne9 par la loi l'exige. ( ) Article 137 1. Il n'existe pas d'Eglise d'Etat. ( ) 4. Les socie9te9s religieuses acquie8rent la personnalite9 juridique conforme9ment aux prescriptions ge9ne9rales du droit civil. 5. Les socie9te9s religieuses qui e9taient ante9rieurement des collectivite9s de droit public conservent ce caracte8re. Les meames droits doivent eatre, e0 leur demande, accorde9s aux autres socie9te9s religieuses lorsqu'elles pre9sentent, de par leur constitution et le nombre de leurs membres, des garanties de dure9e ( ) 6. Les socie9te9s religieuses qui sont des collectivite9s de droit public ont le droit de lever des impf4ts, sur la base des rf4les civils d'impf4ts, dans les conditions fixe9es par le droit du Land. 7. Sont assimile9es aux socie9te9s religieuses les associations qui ont pour but de servir en commun une croyance philosophique. ( ) GRIEFS 1. Le reque9rant se plaint qu'une information relevant de sa sphe8re prive9e, e0 savoir sa non-appartenance e0 une confession religieuse, figure sur sa fiche d'impf4ts et soit ainsi porte9e e0 la connaissance d'une personne prive9e (son employeur). Il invoque l'article 8 de la Convention. 2. Le reque9rant de9nonce aussi l'obligation d'informer les autorite9s fiscales de son appartenance religieuse. S'il est vrai que la mention litigieuse -- l'exempte de payer un impf4t cultuel, il serait ne9anmoins contraint de soutenir le syste8me de pre9le8vement de l'impf4t cultuel dont be9ne9ficierait notamment l'Eglise catholique, qu'il ne souhaite en aucun cas aider notamment en raison des prises de position de celle-ci, qui sont hostiles aux homosexuels, dont il fait partie. Le reque9rant affirme que le pre9le8vement de l'impf4t cultuel et l'inscription de l'appartenance religieuse sur la fiche d'impf4ts par les autorite9s fiscales n'auraient par ailleurs pas de base le9gale en droit allemand et ne seraient fonde9es que sur des directives administratives. De toute fae7on, l'obligation litigeuse ne poursuivrait pas de but le9gitime et ne serait pas ne9cessaire dans une socie9te9 de9mocratique. Le reque9rant alle8gue en outre que s'il avait refuse9 de donner sa fiche d'impf4ts e0 son employeur, il aurait e9te9 impose9 selon une cate9gorie beaucoup moins avantageuse que la cate9gorie correspondant e0 son statut de salarie9. D'apre8s lui, il y aurait d'autres manie8res de pre9lever l'impf4t culturel, qui ne porteraient pas atteinte e0 ses droits fondamentaux. Le reque9rant invoque l'article 9 de la Convention pris isole9ment et combine9 avec l'article 14 de celle-ci. QUESTIONS AUX PARTIES 1. Y a-t-il eu atteinte au droit du reque9rant au respect de sa vie prive9e au sens de l'article 8 1 de la Convention ? Dans l'affirmative, l'inge9rence dans l'exercice de ce droit e9tait-elle pre9vue par la loi et ne9cessaire au sens de l'article 8 2 ? 2. Y a-t-il eu atteinte e0 la liberte9 de religion au sens de l'article 9 1 de la Convention ? Dans l'affirmative, l'inge9rence dans l'exercice du droit en question e9tait-elle pre9vue par la loi et ne9cessaire au sens de l'article 9 2 ? 3. Le reque9rant a-t-il e9te9 victime d'une discrimination contraire e0 l'article 14 de la Convention combine9 avec les articles 8 et 9 de celle-ci ?

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Guest Robert

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Guest Bianca

βασικά είναι IT operators για τον sever του Indy, accnuot managers, sales representatives, developers, sysAdmins, coders κλπ, καθώς και φυλακτικό προσωπικό των server, διότι τώρα τελευταία ακούστηκαν φήμες για απόπειρες δολιοφθοράς του Indy.

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Guest Blaze

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